Courte nuit en perspective. Mais il faut essayer de se reposer, la journée du dimanche va être longue, nous devons en effet rouler pour descendre un peu plus au sud du Maroc.
L'alternative à la tente, le camping de luxe:
Prêts pour l'embarquement!
Sur le bateaux, il faut se reposer. N'importe où et n'importe comment si possible!
Levé de soleil sur l'Afrique
Dès l'arrivée sur le sol marocain, on nous remet notre roadbook.
Si le relief était relativement plat du côté de tanger, ce n'est plus le cas au fur et à mesure de notre approche de Enjil: les plaines qui s'étendent jusqu'à l'horizon font place aux montagnes aux sommets enneigés.
Quelle surprise lorsque nous apercevons des dizaines d'enfants faisant de la luge au bord d'une route! On se croirait dans une station de sport d'hiver, dans les Alpes. Les routes sont sèches, mais les flancs de collines et les bas-côtés sont tout blancs.
Quelle surprise lorsque nous apercevons des dizaines d'enfants faisant de la luge au bord d'une route! On se croirait dans une station de sport d'hiver, dans les Alpes. Les routes sont sèches, mais les flancs de collines et les bas-côtés sont tout blancs.
La route est longue, mais les paysages sont si beaux
Certains équipages s'arrêtent faire du snowboard (!! Eh oui, il y en a qui apportent leurs skis pour en faire dans les dunes de sables!), d'autres pour balancer des boules de neige sur les autres voitures (Et un pare-brise cassé, un! Non, ce n'est pas nous heureusement!)
Ludo voulait que je le laisse là, il s'était fait des copains... Allez viens, tu t'en fera d'autres!
Nous approchons maintenant le sommet du plateau qui va accueillir notre bivouac: la vue est impressionnante, il n'y a pas un seul arbre. A peine un village au loin.
Nous avons une liberté totale quant au choix de l'emplacement de la tente, pour profiter pleinement de la grandeur des espaces.
L'arrivée sur le bivouac
Premier vrai bivouac, au milieu de rien, un superbe ciel étoilé... simplement énorme.
Première bourse au échange aussi: traditionnellement, les équipages viennent annoncer au micro le matériel dont ils ont besoins, et les autres équipages le leur fournissent, selon la disponibilité. Certains cherchent des pièces classiques, du genre démarreur, ou roulements... D'autres cherchent un pare-brise (ils l'ont d'ailleurs trouvé, mais l'ont cassé avant de le monter!!), un volant, un moteur... Bon courage à eux!
Petit bémol: Un équipage s'est fait "racketté" par quelques enfants qui leur avaient tendus une embuscade: quelques objets volés, et une petite frayeur.
Les enfants nous perçoivent comme étant très riche, et nous sollicitent sans cesse au bord des routes. Afin d'apporter notre matériel aux plus démunis, nous refusons la plupart du temps de céder à leurs demandes. Mais parfois, ils ne se contentent pas de nous demander gentiment un crayon ou un t-shirt, ils essayent alors de le prendre d'eux-mêmes.
Ceci n'entame pas notre plaisir, nous devons simplement faire plus attention à l'approche d'un groupe d'enfant qui souhaite nous arrêter.
Vidéo du jour
Ludo voulait que je le laisse là, il s'était fait des copains... Allez viens, tu t'en fera d'autres!
Nous approchons maintenant le sommet du plateau qui va accueillir notre bivouac: la vue est impressionnante, il n'y a pas un seul arbre. A peine un village au loin.
Nous avons une liberté totale quant au choix de l'emplacement de la tente, pour profiter pleinement de la grandeur des espaces.
L'arrivée sur le bivouac
Premier vrai bivouac, au milieu de rien, un superbe ciel étoilé... simplement énorme.
Première bourse au échange aussi: traditionnellement, les équipages viennent annoncer au micro le matériel dont ils ont besoins, et les autres équipages le leur fournissent, selon la disponibilité. Certains cherchent des pièces classiques, du genre démarreur, ou roulements... D'autres cherchent un pare-brise (ils l'ont d'ailleurs trouvé, mais l'ont cassé avant de le monter!!), un volant, un moteur... Bon courage à eux!
Petit bémol: Un équipage s'est fait "racketté" par quelques enfants qui leur avaient tendus une embuscade: quelques objets volés, et une petite frayeur.
Les enfants nous perçoivent comme étant très riche, et nous sollicitent sans cesse au bord des routes. Afin d'apporter notre matériel aux plus démunis, nous refusons la plupart du temps de céder à leurs demandes. Mais parfois, ils ne se contentent pas de nous demander gentiment un crayon ou un t-shirt, ils essayent alors de le prendre d'eux-mêmes.
Ceci n'entame pas notre plaisir, nous devons simplement faire plus attention à l'approche d'un groupe d'enfant qui souhaite nous arrêter.
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